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DĂ©couvreznotre top 20 des plus belles chansons d'amour de la chanson française, garanti 100 % subjectif ! Je te promets – Johnny. Un magnifique serment d'Ă©ternitĂ© que l'on imagine bien PaulEluard(1895-1952) Quelques poĂštes sont sortis. Ă  Philippe Soupault. Comme autrefois, d'une carriĂšre abandonnĂ©e, comme un homme triste, le brouillard, sensible et tĂȘte. comme un homme fort et triste, tombe dans la rue, Ă©pargne les maisons et nargue les rencontres. Dix, cent, mille crient. Nousvous proposons un choix de poĂšmes illustrĂ©s en carte virtuelle, Ă  lire et Ă  partager avec ceux qui ont la chance d'ĂȘtre, tout comme vous, sensibles Ă  la beautĂ©. Les thĂšmes abordĂ©s par ces poĂšmes sont variĂ©s : le rĂȘve, l'amour, la Joyeuxanniversaire, chĂšre! Tu es un si grand cadeau pour mon frĂšre, moi et toute la famille. ♄ Une merveilleuse belle-sƓur comme toi m'est plus prĂ©cieuse qu'un millier d'amis. Je suis tellement reconnaissante que tu aies trouvĂ© ton chemin dans notre famille. Joyeux anniversaire, ma douce belle-sƓur. Pourmoi tu es la fleur du pouvoir Une femme modĂšle car malgrĂ© la souffrance De ton enfance Tu t'es battu Et tu as vaincu Les mots que tu me dis A toi on ne les a jamais dit Pour tous ce que tu as vĂ©cu je te respecte Je t'aime maman ! 947. Citation de cĂ©lĂ©britĂ©. Paroles D’enfant. Citation Maman & Coeur. J'ai cherchĂ© dans les poĂšmes Comment te dire je t'aime. J'ai trouvĂ© des Modele Premier Message Site De Rencontre. Ce texte est une des premiĂšres lettres ocĂ©an» que Blaise Cendrars envoyait Ă  la femme qu’il aimait, Raymone Duchateau qu’il Ă©pousa 25 ans plus tard alors qu’il partait en voyage au BrĂ©sil. Il vient d’embarquer Ă  bord d’un bateau pour un long voyage, vers quelque chimĂšre de vie tropicale qui ne se concrĂ©tisera pas complĂštement
 On peut donc tout Ă  fait prendre le poĂšme au pied de la lettre il quitte une femme aimĂ©e pour dĂ©couvrir un pays neuf, oĂč il rĂȘve de faire fortune vendre, acheter, revendre; mais avec l’esprit poĂšte de Cendrars, ce rĂȘve est une chimĂšre
 Il laisse aussi derriĂšre lui femme et enfants il s’est mariĂ© pendant la guerre avec FĂ©la, dont il a trois enfants
. Femme, enfants, amante
 Tout y est. C’est aussi une belle lettre d’amour pour Raymone, a qui le poĂšme est envoyĂ© promesse d’une vie pleine d’imprĂ©vue, pleine de rencontres et de joie de vivre. Je suis parti, mais je suis lĂ , promet le poĂšte
 Ce dictionnaire contient 29 pensĂ©es et citations La belle femme. La femme est belle quand un frisson d'amour la fait vibrer et trembler sous les baisers. Gustave Flaubert ; Lettre Ă  Ernest Chevalier, le 21 septembre 1841. Un mot Ă©crit sur la peau d'une belle femme nue n'est qu'un dĂ©tail de ce beau corps. Louis Scutenaire ; Mes inscriptions 1943-1944 On ne reçoit rien des belles femmes, mais on peut en obtenir tout. Sylvain MarĂ©chal ; Le dictionnaire d'amour 1788 L'innocence est de tous les vĂȘtements celui qu'une belle femme porte le moins de temps. Sylvain MarĂ©chal ; Le dictionnaire d'amour 1788 Dieu est un sublime crĂ©ateur, il a créé la femme, plus belle que les fleurs. Publilius Syrus ; Les sentences et adages - Ier s. av. La belle ligne d'une femme, c'est l'Ă©clair qui blesse dĂ©licieusement les yeux. Anatole France ; Le Lys rouge 1894 À la maison, au charme d'ĂȘtre belle, la femme est encore plus belle pour ne charmer qu'un. Alphonse Karr ; Les guĂȘpes 1839-1849 La femme est une sainte et belle crĂ©ature, mais presque toujours incomprise et mal jugĂ©e. HonorĂ© de Balzac ; Les Marana 1834 Toute belle et honnĂȘte femme ne refuse jamais la louange qu'on lui donne. BrantĂŽme ; Les vies des dames galantes 1600 Les femmes extrĂȘmement belles Ă©tonnent moins le second jour. Stendhal ; De l'amour 1822 Une belle femme n'a qu'Ă  se montrer pour plaire, sa vanitĂ© est satisfaite. Jeanne-Marie Leprince de Beaumont ; Belote et Laidronette 1756 Si une femme est belle, elle est toujours assez parĂ©e. Plaute ; Mostellaria - IIe s. av. Bien des choses peuvent se transformer dans les sociĂ©tĂ©s humaines, mais rien ne prĂ©vaudra contre une vĂ©ritĂ© aussi naturelle qu'une belle fille ou une rose rouge signifient l'amour. Georges Bataille ; Premiers Ă©crits 1922-1940 Toutes les belles femmes se prennent Ă  ce trĂ©buchet. Amants, voulez-vous ĂȘtre heureux, faites-en naĂźtre l'occasion. Sylvain MarĂ©chal ; Le dictionnaire d'amour 1788 Rien n'est plus triste que la vie des femmes qui n'ont su ĂȘtre que belles, car rien n'est plus court que le rĂšgne de la beautĂ©, et il n'y a qu'un fort petit nombre d'annĂ©es de diffĂ©rence entre une trĂšs belle femme, et une femme qui ne l'est plus. Bernard Fontenelle ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions 1757 Une belle femme est en France l'idole de ceux qui la connaissent, la reine de son mari, et le tyran de ses amants. Citation anglaise ; Les proverbes et adages anglais 1840 Les belles femmes perdent Ă  la mode ce qu'y gagnent les jolies femmes. Nicolas Massias ; Le rapport de la nature Ă  l'homme 1823 Les belles femmes se reconnaissent au dĂ©dain, car, neuf fois sur dix, c'est la sotte qui dĂ©daigne. Henry de Montherlant ; Sur les femmes 1958 Jeunes amants, imitez le ZĂ©phyr Il caresse l'Ɠillet, l'anĂ©mone et la rose ; jamais son vol ne se repose ; nouvel objet, nouveau dĂ©sir. De beautĂ©s en beautĂ©s, sans vous fixer pour une, comme lui voltigez toujours ; voltigez, et passez de la blonde Ă  la brune Les belles sont les fleurs du jardin des amours. Charles-Simon Favart ; Les trois sultanes 1761 Les remords d'une belle femme ce sont des regrets. Alphonse Karr ; Nouvelles guĂȘpes 1853 Le dĂ©sir n'a rien Ă  voir avec la beautĂ©, et toute femme belle, ce n'est pas tant parce qu'on la dĂ©sire qu'on va l'aimer, c'est parce qu'elle est belle et que nous sommes sensibles Ă  la beautĂ©, ce qui est diffĂ©rent. Georges Perros ; Papiers collĂ©s 1960 Une belle femme est une joie infinie. Johann Wolfgang von Goethe ; Les complices Die mitschuldigen, I , 2 1769 Les femmes qui doivent le plus dire aux hommes qu'ils sont beaux, ce sont les plus belles. Jean Giraudoux ; La folle de Chaillot 1945 La beautĂ© de la femme intĂ©resse moins les hommes que sa possession, mais elle les fait rĂȘver. Henry de Montherlant ; Textes sous une occupation 1940-1944 La plus belle femme du monde ne remplacera jamais un bon banquet. Pascal Bruckner ; Les ogres anonymes 1998 Ne jamais oublier que les agences de mannequins ont toutes Ă©tĂ© créées par des mecs laids qui voulaient coucher avec des femmes trĂšs belles, et qui y sont parvenus au-delĂ  de toute dĂ©cence. FrĂ©dĂ©ric Beigbeder ; Au secours pardon 2007 Toute femme qui veut bien de moi est la plus belle du monde. FrĂ©dĂ©ric Beigbeder ; Un roman français 2009 Une belle femme sans esprit, quand elle a accordĂ© ses faveurs Ă  son amant, ne peut plus rien pour lui ; tandis qu'une femme laide, mais spirituelle, peut inspirer Ă  un homme une passion telle qu'il ne lui restera plus rien Ă  souhaiter. Giacomo Casanova ; L'histoire de ma vie 1789-1798 Une belle femme sans argent ressemble Ă  un beau cottage vide. Thomas Fuller ; Gnomologia, adagies and proverbs 1732Autres dictionnaires Ă  consulter PoĂšmes choisis AdĂ©laĂŻde DufrĂ©noy 1765-1825 Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 George Sand 1804-1876 Ondine Valmore 1821-1853 Louise Ackermann 1871-1945 Anna de Noailles 1876-1933 CĂ©cile Sauvage 1883-1927 Esther Granek 1927-2016 Essence Droit d'utiliser Ă  des fins non commerciales, de partager ou d'adapter l'ƒuvre. Pour cela, vous devez la crĂ©diter, intĂ©grer un lien vers cette page du site et indiquer si des modifications ont Ă©tĂ© effectuĂ©es. Les nouvelles ƒuvres créées Ă  partir de celle-ci seront sous les mĂȘmes conditions. La jalousie Dernier trĂ©sor d’une amie, Toi dont les chastes amours Aux jours sombres de ma vie Font succĂ©der de beaux jours, Ah ! Pardonne Ă  ma tendresse Le caprice et le soupçon ; Quand on aime avec ivresse On perd souvent la raison. Je sais que ton Ăąme pure MĂ©prise un art imposteur, Que je te fais une injure En soupçonnant ta candeur. J’abhorre la jalousie, Qui m’atteint de son poison ; Mais je t’aime Ă  la folie ; Je perds souvent la raison. À mes injustes alarmes Loin d’opposer des froideurs, Lorsque tu verras mes larmes Presse ton cƓur sur mon cƓur ; Qu’un regard, un doux sourire, Bannissent mon noir soupçon ; Montre-moi plus de dĂ©lire, Et j’aurai plus de raison. — AdĂ©laĂŻde DufrĂ©noy 1765-1825 ElĂ©gies, suivies de poĂ©sies diverses La couronne effeuillĂ©e J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillĂ©e Au jardin de mon pĂšre oĂč revit toute fleur ; J'y rĂ©pandrai longtemps mon Ăąme agenouillĂ©e Mon pĂšre a des secrets pour vaincre la douleur. J'irai, j'irai lui dire, au moins avec mes larmes Regardez, j'ai souffert ...» il me regardera, Et sous mes jours changĂ©s, sous ms pĂąleurs sans charmes, Parce qu'il est mon pĂšre il me reconnaĂźtra. Il dira C'est donc vous, chĂšre Ăąme dĂ©solĂ©e La terre manque-t-elle Ă  vos pas Ă©garĂ©s ? ChĂšre Ăąme, je suis Dieu ne soyez plus troublĂ©e ; Voici votre maison, voici mon coeur, entrez ! » Ô clĂ©mence ! ĂŽ douceur ! ĂŽ saint refuge ! ĂŽ pĂšre ! Votre enfant qui pleurait vous l'avez entendu ! Je vous obtiens dĂ©jĂ  puisque je vous espĂšre Et que vous possĂ©dez tout ce que j'ai perdu. Vous ne rejetez pas la fleur qui n'est plus belle ; Ce crime de la terre au ciel est pardonnĂ©. Vous ne maudirez pas votre enfant infidĂšle, Non d'avoir rien vendu, mais d'avoir tout donnĂ©. — Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 PoĂ©sies inĂ©dites L’oreiller d’un enfant Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tĂȘte, Plein de plume choisie, et blanc, et fait pour moi ! Quand on a peur du vent, des loups, de la tempĂȘte, Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi ! Beaucoup, beaucoup d’enfants, pauvres et nus, sans mĂšre, Sans maison, n’ont jamais d’oreiller pour dormir ; Ils ont toujours sommeil, ĂŽ destinĂ©e amĂšre ! Maman ! douce maman ! cela me fait gĂ©mir 
 — Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 PoĂ©sies inĂ©dites À Aurore La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-mĂȘme. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne Ă  celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-mĂȘme. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vĂ©ritĂ© c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-mĂȘme. — George Sand 1804-1876 Contes d’une grand’mĂšre vol. 1 1873 Correspondance Cher ami, Je suis toute Ă©mue de vous dire que j'ai bien compris l'autre jour que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit une preuve que je puisse ĂȘtre aimĂ©e par vous. Je suis prĂȘte Ă  montrer mon affection toute dĂ©sintĂ©ressĂ©e et sans cal- cul, et si vous voulez me voir ainsi vous dĂ©voiler, sans artifice, mon Ăąme toute nue, daignez me faire visite, nous causerons et en amis franchement je vous prouverai que je suis la femme sincĂšre, capable de vous offrir l'affection la plus profonde, comme la plus Ă©troite amitiĂ©, en un mot la meilleure Ă©pouse dont vous puissiez rĂȘver. Puisque votre Ăąme est libre, pensez que l'abandon oĂč je vis est bien long, bien dur et souvent bien insupportable. Mon chagrin est trop gros. Accourez bien vite et venez me le faire oublier. À vous je veux me sou- mettre entiĂšrement. Votre poupĂ©e Correspondance de George Sand Ă  Alfred de Musset. Conseil de lecture Lire une ligne sur deux * * * D'Alfred de Musset Ă  George Sand. Quand je mets Ă  vos pieds un Ă©ternel hommage, Voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Vous avez capturĂ© les sentiments d'un coeur Que pour vous adorer forma le crĂ©ateur. Je vous chĂ©ris, amour, et ma plume en dĂ©lire Couche sur le papier ce que je n'ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, Vous saurez quel remĂšde apporter Ă  mes maux. * * * De George Sand Ă  Alfred de Musset. Cette insigne faveur que votre coeur rĂ©clame Nuit Ă  ma renommĂ©e et rĂ©pugne Ă  mon Ăąme. — George Sand 1804-1876 Correspondance La voix Cher ami, La neige au loin couvre la terre nue ; Les bois dĂ©serts Ă©tendent vers la nue Leurs grands rameaux qui, noirs et sĂ©parĂ©s, D'aucune feuille encor ne sont parĂ©s ; La sĂšve dort et le bourgeon sans force Est pour longtemps engourdi sous l'Ă©corce ; L'ouragan souffle en proclamant l'hiver Qui vient glacer l'horizon dĂ©couvert. Mais j'ai frĂ©mi sous d'invisibles flammes Voix du printemps qui remuez les Ăąmes, Quand tout est froid et mort autour de nous, Voix du printemps, ĂŽ voix, d'oĂč venez-vous ?... — Ondine Valmore 1821-1853 - Adieu Ă  la poĂ©sie Mes pleurs sont Ă  moi, nul au monde Ne les a comptĂ©s ni reçus, Pas un oeil Ă©tranger qui sonde Les dĂ©sespoirs que j’ai conçus. L’ĂȘtre qui souffre est un mystĂšre Parmi ses frĂšres ici-bas ; Il faut qu’il aille solitaire S’asseoir aux portes du trĂ©pas. J’irai seule et brisant ma lyre, Souffrant mes maux sans les chanter ; Car je sentirais Ă  les dire Plus de douleur qu’à les porter. — Louise Ackermann 1871-1945 Paris, 1835 L’automne Voici venu le froid radieux de septembre Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l’air sĂ©vĂšre, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. Comme toutes les voix de l’étĂ© se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l’eau mĂȘme a froid. Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller oĂč les oiseaux s’envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les Ă©tangs demain. Le silence est lĂ©ger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flĂ»te, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l’Amour qui jouait sous la bontĂ© des cieux S’en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu’il va transfigurer Tressaille et s’attendrit de le sentir entrer. — Anna de Noailles 1876-1933 Le coeur innombrable Je me souviens de mon enfance Je me souviens de mon enfance Et du silence oĂč j’avais froid ; J’ai tant senti peser sur moi Le regard de l’indiffĂ©rence. Ô jeunesse, je te revois Toute petite et repliĂ©e, Assise et recueillant les voix De ton Ăąme presque oubliĂ©e. — CĂ©cile Sauvage 1883-1927 MĂ©lancolie Je ne peux rien retenir Je ne peux rien retenir, Ni la lune ni la brise, Ni la couleur rose et grise D’un Ă©tang plein de dormir ; Ni l’amitiĂ© ni ma vie, Ombre fuyante et pĂąlie Dont je perds le souvenir. — CĂ©cile Sauvage 1883-1927 FumĂ©es Contradictions Ils cohabitent en moi. Se battent sans qu’on le voie Le passĂ© le prĂ©sent Le futur et maintenant L’illusion et le vrai Le maussade et le gai La bĂȘtise la raison Et les oui et les non L’amour de ma personne Les dĂ©goĂ»ts qu’elle me donne Les façades qu’on se fait Et ce qui derriĂšre est Et les peurs qu’on avale Les courages qu’on Ă©tale Les envies de dire zut Et les besoins de lutte Et l’humain et la bĂȘte Et le ventre et la tĂȘte Les sens et la vertu Le cachĂ© et le nu L’aimable et le sĂ©vĂšre Le prude et le vulgaire Le parleur le taiseux Le brave et le peureux Et le fier et le veule
 Pour tout ça je suis seul. — Esther Granek 1927-2016 Ballades et rĂ©flexions Ă  ma façon Toi Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien lĂ  et je n’y crois Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant Toi c’est prĂ©sent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon coeur Toi c’est distant
 Toi c’est changeant
 Toi c’est rĂȘvant et esquivant
 Toi c’est pensant
 Toi c’est taisant
 Toi c’est tristesse qui me prend
 Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras
 Toi c’est mon soleil qui s’en va
 Et moi, je reste, pleurant tout bas. — Esther Granek 1927-2016 Ballades et rĂ©flexions Ă  ma façon Une histoire Et c’est au fil de nos sourires que se noua le premier fil. Et c’est au fil de nos dĂ©sirs qu’il se multiplia par mille. Était-ce au fil de mes espoirs qu’en araignĂ©e tu fis ta toile ? Car c’est au fil de tes dĂ©parts qu’au piĂšge je fus l’animal
 alors qu’au fil de ton plaisir se brisera
 le dernier fil. — Esther Granek 1927-2016 Je cours aprĂšs mon ombre Vacances TiĂšde est le vent Chaud est le temps FraĂźche est ta peau Doux, le moment Blanc est le pain Bleu est le ciel Rouge est le vin D’or est le miel Odeurs de mer Embruns, senteurs Parfums de terre D’algues, de fleurs Gai est ton rire Plaisant ton teint Bons, les chemins Pour nous conduire LumiĂšre sans voile Jours Ă  chanter Millions d’étoiles Nuits Ă  danser LĂ©gers, nos dires Claires, nos voix Lourd, le dĂ©sir Pesants, nos bras TiĂšde est le vent Chaud est le temps FraĂźche est ta peau Doux le moment Doux le moment
 Doux le moment
 — Esther Granek 1927-2016 Ballades et rĂ©flexions Ă  ma façon Fleur bleue Aux idĂ©es noires Mais la main verte Passe ses nuits blanches À jardiner sa matiĂšre grise Pour voir Ă©clore la vie en rose — Essence PoĂšme de Twitter Écrire n'est pas qu'Ă©crire C'est d'abord l'idĂ©e investie Qui surgit InopinĂ©ment Magique Sur le papier, elle s'exprime Et lĂ  s'impriment sentiments, DĂ©sirs RĂȘves Une vie L'Ăąme Ă  nu Des flammes entre les doigts ... Ensuite Lire n'est pas que lire — Essence PoĂšme de Twitter Atteignant la saison de leur majoritĂ© Les feuilles Pudiques Rougissent À l'idĂ©e de devoir DĂ©shabiller Un arbre Pour leur premiĂšre fois Automne —Essence - Sous son autre pseudo Neige PoĂšme de Twitter Ce dictionnaire contient 30 pensĂ©es et citations Les belles femmes. Une belle femme est encore embellie par un paysage qui lui va bien. Jules Renard ; Le journal du 3 octobre 1906. L'argent et les belles femmes, les deux seules choses dĂ©sirables qui soient au monde. ThĂ©ophile Gautier ; Mademoiselle de Maupin 1835 Une femme qui est belle a toujours de l'esprit, elle a l'esprit d'ĂȘtre belle. ThĂ©ophile Gautier ; Mademoiselle de Maupin 1835 Une belle femme est souvent plus prĂ©occupĂ©e par sa beautĂ© que par son foyer. Tahar Ben Jelloun ; Le dernier ami 2004 Une grande beautĂ©, beaucoup d'esprit et de jugement, se trouvent rarement ensemble la plupart des jolies femmes perdent Ă  se laisser connaĂźtre ce qu'elles gagnent Ă  se laisser voir. Jean Baptiste Blanchard ; Les maximes de l'honnĂȘte homme 1772 Quand les bougies sont Ă©teintes, toutes les femmes sont jolies. Plutarque ; PrĂ©ceptes conjugaux - Ier s. ap. Voyons, tu crois qu'un homme qui se gagne une femme aussi belle que toi peut avoir l'envie de la quitter pour courir les mers ? Il sera bien trop occupĂ© Ă  surveiller les galants qui seront autour de toi comme les mouches sur une fraise. Marcel Pagnol ; Marius, le 9 mars 1929. DĂšs qu'on dit Ă  une femme qu'elle est jolie, elle se croit de l'esprit. Jules Renard ; Le journal du 9 fĂ©vrier 1899. Une seule qualitĂ© suffira pour que nous nous Ă©prenions d'une femme quelconque. Un seul dĂ©faut nous servira de prĂ©texte pour nous dĂ©senchaĂźner d'une trĂšs jolie femme. Sacha Guitry ; Et Sacha vous est contĂ© / Lana Guitry 1960 La beautĂ© est Ă©phĂ©mĂšre, et je prĂ©fĂšre Ă  une belle, une femme entiĂšre. Maxalexis ; Le naturel avant tout 1997 L'avantage d'ĂȘtre cĂ©libataire, c'est que, lorsqu'on se trouve devant une trĂšs jolie femme, on n'a pas Ă  se chagriner d'en avoir une laide chez soi. Paul LĂ©autaud ; Les propos d'un jour 1947 C'est Ă  Paris que se voient les plus attachantes figures de beautĂ© finissante, des femmes de quarante ans, qui ont conservĂ© leur nez fin, leurs yeux de jeune fille, et qui se laissent regarder avec plaisir. Colette ; Claudine en mĂ©nage 1902 Au fond, les femmes sont plus jolies que les chevaux on les voit sans leurs jockeys ! Jean Giraudoux ; Combat avec l'ange 1934 Tout le monde l'aimait bien, et surtout les hommes, parce que sa femme, qui Ă©tait belle, ne refusait qu'une fois ce qu'on lui demandait poliment. Marcel Pagnol ; L'eau des collines 1963 Faites-vous belle, c'est un devoir pour les femmes ; il est si doux de vous voir ; les femmes n'ont pas le droit de nous priver du bonheur de les admirer, elles n'ont pas le droit de ne pas ĂȘtre belles. Alphonse Karr ; Une heure trop tard 1833 Combien n'a-t-on point vu de belles aux doux yeux, avant le mariage anges si gracieux, tout Ă  coup se changeant en bourgeoises sauvages, vrais dĂ©mons apporter l'enfer dans leurs mĂ©nages. Nicolas Boileau ; Satire X, Les femmes 1693 Toute belle femme s'Ă©tant une fois essayĂ©e au jeu d'amour ne le dĂ©sapprend jamais. BrantĂŽme ; Les vies des dames galantes 1600 C'est trĂšs joli, une compagne intelligente, mais il faut que ce soit une femme, avec, tout de mĂȘme, que diable ! un peu de ce qui est nĂ©cessaire pour faire l'amour. Jules Renard ; Le journal du 24 fĂ©vrier 1905. Toute femme belle, ce n'est pas parce qu'on la dĂ©sire qu'on va l'aimer. Georges Perros ; Papiers collĂ©s 1960 Vous ĂȘtes belle comme la femme d'un autre. Paul Morand ; Tendres stocks 1921 L'esprit Ă©tincelant et vrai, qui frĂŽle sans cesse le cynisme, effraye les jolies femmes. Jean Dutourd ; L'Ăąme sensible 1959 Quand les jolies femmes manquent, l'amour se contente des laides et n'en meurt pas. Anne Barratin ; De vous Ă  moi 1892 Les femmes sont un ornement dans la vie, et la loi de tout ornement est de paraĂźtre fin, lĂ©ger, dĂ©licat et coquet. Madame de Girardin ; Les lettres parisiennes, le 8 fĂ©vrier 1837. Belle femme mauvaise tĂȘte, bonne mule mauvaise bĂȘte. Gabriel Meurier ; Le trĂ©sor des sentences 1568 Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination. Marcel Proust ; Albertine disparue, IV, 23 1925 RuinĂ©s par mainte folie, vous qui trouvez femme jolie, riche en vertus, or et bijoux, mariez-vous. Marc-Antoine DĂ©saugiers ; Les conseils aux garçons 1813 Une belle femme plaĂźt aux yeux, une bonne femme plaĂźt au coeur ; l'une est un bijou, l'autre un trĂ©sor. NapolĂ©on Bonaparte ; Les maximes et pensĂ©es 1769-1821 Femme sage est plus que femme belle. Voltaire ; Ce qui plaĂźt aux dames 1764 La nuit, toutes les femmes sont belles. Ovide ; L'art d'aimer - env. 2 ap. Être belle et aimĂ©e, ce n'est ĂȘtre que femme ; ĂȘtre laide et savoir se faire aimer, c'est ĂȘtre princesse. Jules Barbey d'Aurevilly ; Les fragments sur les femmes 1889Autres dictionnaires Ă  consulter Douce nuit ma belle fleur A toi des rĂȘves de bonheur Je serais lumiĂšre de lune A travers la nuit nocturne Pour faire embellir Ta nuitĂ©e, de dĂ©sir Calmer tes soupirs Écrire sans rien finir AprĂšs que tu finis ton sommeil Je serais cette lumiĂšre de soleil Qui caresse tes pĂ©tales A chaque levĂ©e matinale Pour te dire bonjour Avec grand amour Ainsi, je serais prĂšs de toi MĂȘme Ă  grande distance Je t'offre la belle chance Pour garder cet bel Ă©moi Tout ce bonheur Dans nos cƓurs Ma belle fleur d'Ă©ternitĂ© Passer une douce nuitĂ©e PoĂšme d'amour pour elle Je t'ai aperçu, je t'ai croisĂ©. Tout simplement. Cette admiration que tu n'auras jamais pour moi
 Je suis dĂ©sarmĂ©e et dĂ©sarçonnĂ©e. Je t'aime et je le sais... Ce qui me tue le plus c'est de savoir que je tiens encore Ă  toi, Alors que toi, Tu t'en fiches complĂštement de moi. T’avais pas le droit de m'abandonner comme ça. Si tu savais Ă  quel point j'ai peur de vivre sans toi... en me disant "je t'aime, c'est toi que je veux" PoĂšme d'amour pour une jolie fille 2 JE PEUX PAS ... La vie sans toi , je peux pas ... J'ai peur et si froid ! Je veux rester auprĂšs de Toi, Mon refuge, ma plus grande joie ! La vie sans toi , je peux pas ... C'est dans Tes bras, Que j'aime me blottir, Sans vouloir en sortir. La vie sans toi , je peux pas ... MĂȘme s'ils me disent "oĂč est ton Roi ? Il t'a abandonnĂ© ! Je ne les crois pas ! La vie sans toi, je peux pas ... Mieux vaut mourir de suite, Une trĂšs belle fuite, PlutĂŽt que de vivre ici bas. La vie sans toi , je peux pas ... Je m'accroche de tout coeur, A ta vie, Je t'aime Ă  l'infini ! La vie sans toi , je peux pas ... Ce ne serait que tristesse, DĂ©sespoir, dĂ©tresse, La fin de tout. La vie sans toi , je peux pas ... Combien ils sont malheureux Ceux qui ne te connaissent pas, Il faut que je leur parle de toi ! Parce que la vie sans toi , ils ne pourront pas ... Une seconde Ă  Tes cĂŽtĂ©s vaut de l'or, Inestimable trĂ©sor Qui me remplit d'un amour si fort ! poĂšme d'amour pour elle l'amoureuse Elle m'a dit Au dĂ©but,Tu Ă©cris ! A long vers ! Ta poĂ©sie romantique devienne aprĂšs, des vers si courts J'ai souris J'ai compris Ce qu'elle veux bien dire Que la forme peux nuire Mais moi, j'aime Ă©crire Des mots doux que j'admire Car ils sont libres autant l'air Ces phrases et tout ces vers DĂšs que je termine mon Ă©crit C'est bon ! Pour moi c'est fini J'ai transmis Et j'ai souri J'en suis pas lĂ  ! Seule mes Ă©motions Seulement des ressentis d'admiration Celui d'Ă©crire Mon sourire Oui ! Autrement Et certainement Merci Ă  toi chĂšre amie Merci d’ĂȘtre une amie et un amour. PoĂšmes d'amour pour une belle Nana Je pleurais, je souffrais, je suis devenus si faible en si peu de temps. J’ai rencontrĂ© un garçon, Au dĂ©but jamais j'aurais crus que je m'attacherais autant Ă  lui, Que je l'aimerais autant, Ă  un point Ă  s'en dĂ©chirer le cƓur
 Comme une drogue... Toutes les nuits je pleure, Parce que je veux ĂȘtre dans ses bras, Je veux ĂȘtre prĂšs de lui, J’y arrive plus sans lui... J'ai besoin de lui pour continuer mon chemin, J’ai besoin de sa prĂ©sence tout simplement. J’en ai marre de pleurer, J’en ai marre d'ĂȘtre faible, Parce que c'est lui qui me rend plus fort.

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