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Labbé Pierre. L'insurrection de la bontéUn roman pour découvrir le destin incroyable d'une des personnalités préférées des Français. Ce récit .
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Publiéà l'occasion du centenaire de la naissance de l'Abbé Pierre, ce recueil rassemble ses écrits tirés de ses archives personnelles (dessins, notes, Tous les livres depuis 1997
Modele Premier Message Site De Rencontre. En 2012, à l’occasion du centenaire de la naissance d’Henri Grouès plus connu sous le nom d’abbé Pierre, l’association culturelle Jakintza avait publié, dans son numéro 60, un texte relatant le passage en Espagne de l’abbé Pierre en 1944 alors que sa tête était mise à prix par la Gestapo et qu’il était recherché depuis Paris. La notoriété de ce personnage, longtemps le plus aimé des Français, nous a conduits à approfondir nos recherches de part et d’autre de la frontière et à retrouver des membres de la famille des passeurs. Aussi, avec nos amis de l’association culturelle de Bera, nous avons pu nous procurer à Roubaix un ouvrage en espagnol relatant son passage dans cette ville et à travers l’Espagne. Cela nous a permis de contacter la famille du boulanger qui l’avait accueilli un matin de mai 1944. Nous tenons à remercier toutes les personnes qui nous ont permis de réaliser ce travail qui est un hommage à l’abbé Pierre. Nbre de vues 646 Bera Espagne Guerre Voies de communication Navigation de l’article
- 4 août 2012 - L'ABBÉ PIERRE AURAIT EU CENT ANS Ce dimanche 5 août marque le centenaire de la naissance de l’abbé Pierre, dont le combat a bousculé les consciences action perdure à travers la fondation qui porte son nom et de multiples communautés ou associations. L’année 1912 devrait être marquée d’une pierre blanche par tous ceux qui se battent contre la mal-logement et qui veulent donner un toit à ceux qui n’en ont pas. Sacrée coïncidence, en effet, cette année-là fut non seulement celle de la naissance du logement social, mais aussi celle de l’abbé Pierre, à Lyon ». Pendant près de soixante ans, l’homme de l’hiver 1954 a mené un combat sans faille au service des plus démunis, des sans logis et des sans papiers. En France d’abord, avec la création de la première communauté des chiffonniers d’Emmaüs, puis dans le monde entier. Un grand rassemblement est prévu à Esteville en France, dernier lieu de vie de l’abbé Pierre. La messe télévisée sera célébrée dans le parc du centre de l'abbé Pierre et retransmise en direct sur France 2. Depuis 2007, la commune d’Esteville est devenue un lieu de pèlerinage. Elle a été le lieu d’implantation de l’une des premières maisons d’accueil de la communauté Emmaüs, créée dans les années 1960. Entre 1991 et 1999, Esteville a été le lieu de résidence de l’abbé Pierre. Des milliers de personnes se rendent chaque année sur sa tombe et visitent le centre abbé Pierre-Emmaüs inauguré en janvier dernier. L’abbé Pierre fut, pendant des années, la personnalité préférée des Français. Il n’était pas seulement un prêtre exceptionnel, défenseur des pauvres et des exclus. Il était devenu, au fil des années, la voix de notre conscience. Pour marquer cet anniversaire, un ouvrage composé de documents inédits de l’Abbé Pierre a été publié. Il offre un témoignage de tout premier plan sur la vie intime, les combats, les espoirs et les colères de celui qui fut de tous les combats contre la misère et l’injustice. source Apic Retour aux dépêches retour à la page d'accueil
Depuis cent ans, ils ont été nombreux les journalistes qui, à titre de reporters, de pupitreurs, de photographes ou de cadres de l'information, ont façonné Le Devoir. Mais eux, qu'ont-ils retenu de leurs années au journal? Dix anciens», un pour chaque vendredi de l'été, nous répondent. Je suis entré au Devoir à 20 ans, par le plus grand des hasards, comme quelqu'un qui arrive de l'autre côté du miroir pour plonger dans le début d'un temps nouveau». Après une année de grand séminaire, je quittai cette fausse vocation sans hésiter, mais sans savoir ce que je voulais faire dans la vie. Il me fallait un travail pour prendre le temps de m'orienter. Je croisai alors dans mon quartier un journaliste du Devoir qui me dit en passant que le journal avait besoin de reporters. Mon père me fit remarquer qu'il y avait un conflit de travail au Devoir lock-out des typographes avec ligne de piquetage». Mais je n'écoutais pas, parce que ces notions m'étaient parfaitement étrangères. J'étais instruit, mais je ne savais rien de la vie civile. Les études théologiques donnaient de rares contacts avec les événements extérieurs. En un an, les autorités du séminaire avaient fait afficher une seule fois Le Devoir au babillard pour marquer le triomphe municipal de Jean Drapeau et de sa croisade de moralité. Notre supérieur avait aussi rabroué vertement l'abbé Pierre qui, en visite chez nous, avait osé exprimer sa gêne devant le confort, pour ne pas dire l'opulence, de nos presbytères. Mais j'étais plutôt du côté de l'abbé Pierre, et le procès du cléricalisme dans Cité libre circulait déjà en secret sous nos soutanes. Donc, un soir de septembre 1955, je monte le vieil escalier vermoulu de la rue Notre-Dame et le chef des nouvelles Marcel Thivierge me reçoit dix minutes au comptoir, s'en va voir dix minutes le directeur de l'époque, Gérard Filion, et revient pour me demander As-tu soupé?» Je réponds que non et il ajoute Va souper et reviens, tu commences ce soir.» J'avais rendez-vous avec une vieille Remington remise en état et je n'avais jamais tapé à la machine. Quelle époque! Six mois plus tard, je ne voulais plus faire rien d'autre dans la vie! Quelle époque, et quel milieu! Les cinq dernières années du duplessisme allaient être très exaltantes merci, surtout au journal, qui le combattait maintenant ouvertement après avoir appuyé son autonomisme provincial tant que la décence le permettait encore. Quant à la salle de rédaction elle-même, elle m'offrait ce dont j'avais maintenant le plus envie la liberté de penser et de dire. S'y côtoyaient des croyants et même des pratiquants, des agnostiques discrets, des athées déclarés, et nous nous abreuvions à toutes les tendances du grand buffet des idéologies personnalisme, existentialisme, socialisme, marxisme. Chez les plus conservateurs, on sentait des relents de corporatisme et de la vision traditionnelle canadienne-française. Nous savions que nos dirigeants étaient presque tous membres de l'Ordre de Jacques Cartier et cela créait un certain malaise. Quelle influence cela avait-il sur le journal? Quand la patente» disparut en 1965, on apprit qu'un éditorialiste du Devoir en avait été le Grand Commandeur pendant plusieurs années. Le journal trouvait alors son unité dans le professionnalisme, et ce fut pour moi une école extraordinaire, où l'on apprenait à vérifier et à mesurer l'intérêt public d'une information avant de la publier. Le Devoir prit à ce moment-là une trajectoire carrément politique. Le phare du changement L'élection provinciale de 1956 a été pour moi le premier grand moment pour comprendre combien ce journal était indispensable. J'avais couvert quelques événements habituels de nos campagnes électorales de l'époque, dont des arrestations de travailleurs d'élections qui avaient un peu trop attiré l'attention de la police. C'est à ce moment-là qu'ont été prononcées des paroles célèbres de la part d'un juge qui en avait libéré quelques-uns en disant du haut du banc Mais laissez donc en paix les honnêtes travailleurs d'élections.» Le hic, c'est que tout le monde savait qu'ils participaient à une vaste fraude électorale bien organisée. C'en était trop. Le temps était venu de répandre dans la conscience publique la notion d'élections démocratiques normales. Cela prit la forme de la publication par Le Devoir, en juillet 1956, d'une critique sévère de l'immoralité politique du Québec, écrite par les abbés Gérard Dion et Louis O'Neil pour la revue Ad usum sacerdotum À l'usage du clergé». Un scoop qui semblerait bien étrange aujourd'hui mais qui fit grand bruit. Ce n'était que le premier coup de tonnerre dans l'orage continu qui allait s'abattre sur un régime arbitraire et fermé à toute remise en question. Le Devoir devint un phare pour toutes les forces de changement. Mon expulsion Devenu chroniqueur syndical tout en conservant la chronique universitaire, je reçois un jour du printemps 1957 la visite d'un organisateur syndical qui me remet une documentation troublante sur la façon dont la Gaspé Copper Mines empêche un syndicat de prendre pied à sa mine de Murdochville. Six articles s'ensuivent, qui alimentent la célèbre riposte de la grande marche en Gaspésie, temps fort de l'affrontement avec Duplessis et le patronat étranger. Au printemps de 1958, les étudiants de l'Université de Montréal s'agitent et font grève pour des principes comme la suppression de l'arbitraire dans l'attribution des budgets des universités et des bourses étudiantes. Au début de mars, après une journée de grève, l'assemblée des étudiants délègue trois d'entre eux à Québec pour aller porter leurs revendications à Duplessis lui-même. Ceux qu'on appellera Les Trois», Francine Laurendeau, Bruno Meloche et Jean-Pierre Goyer, prennent le train de nuit. Mais nous étions quatre à bord, mon journal ayant accepté que je les suive après avoir remis ma copie. Je restai à Québec quelques jours, mais les étudiants feront le pied de grue pendant 37 jours devant le bureau du cheuf». Trois mois plus tard, en juin 1958, ce fut mon tour. Le premier ministre lui-même me fait expulser de son bureau pendant la crise du gaz naturel. On a beaucoup rappelé cet épisode à l'occasion du centenaire du Devoir. Une précision je n'étais pas correspondant du Devoir à Québec mais reporter à Montréal. Duplessis avait interrompu ses conférences de presse pendant la crise et avait convoqué les journalistes parce que le correspondant parlementaire du Devoir, Pierre Laporte, était en vacances. Filion et son rédacteur en chef, André Laurendeau, avaient trouvé l'astuce de me déléguer à sa place! Puis vint le frère Untel. Une lettre de lecteur signée d'un pseudonyme déclenche une tempête. Le Québec parle joual, pense joual, s'en va à vau-l'eau. Nous sommes en novembre 1959 et nous en avons pour des semaines à développer l'histoire. La fièvre gagne l'Université de Montréal. Un superbe canular fait courir la presse et un millier d'étudiants venus applaudir un faux frère Untel incarné par un acteur. La photo du frère Jean-Paul Desbiens n'avait pas encore été publiée. L'enquête qui changea ma vie En mars 1961, après un mois de recherche à plein temps à partir d'une bonne source, je parvins à documenter le scandale de l'hôpital Jean-Talon irrégularités nombreuses, dont des interventions chirurgicales douteuses, voire inutiles, corruption dans les achats de terrain, direction autoritaire, copinage avec les sbires de l'Union nationale. Pendant la première semaine de publication, le ministre René Lévesque téléphonait le soir à André Laurendeau pour savoir ce qui allait sortir le lendemain. Devant la gravité de l'affaire, il convainquit le gouvernement Lesage d'instituer une commission d'enquête. La même semaine, le premier ministre du Canada John Diefenbaker ordonnait au sénateur Courtemanche de démissionner sur-le-champ, une première dans l'histoire de la Confédération. Il était le neveu de l'ancien ministre de la Santé du Québec et homme de main du président de l'hôpital. La commission Chabot recommanda que la province adopte sa première loi sur les hôpitaux. Cela allait influencer la suite de ma carrière beaucoup plus que le fait d'avoir été expulsé du bureau de Duplessis! Mes articles m'ont en effet valu un National Newspaper Award, ce qui m'a permis de devenir le premier journaliste canadien de langue française à décrocher la bourse Nieman à l'Université Harvard 1963-1964. Cela motiva Radio-Canada à m'offrir un poste de correspondant à Washington en 1965, puis à m'intégrer à l'équipe du magazine Le 60 de 1969 à 1975. Après 15 ans de reportage télévision, je passai à la radio en 1980, jusqu'à ma retraite en 1995, alors que j'étais devenu responsable de formation puis animateur de l'émission C'est la faute aux médias. *** Guy Lamarche - Reporter au Devoir de 1955 à 1959, puis en 1961 À voir en vidéo
Article réservé aux abonnés Montpellier, ... avril. - Pour célébrer le septième centenaire de la naissance de Dante, le musée Atger, à Montpellier, a réservé deux salles où, grâce aux soins de Mme René Masson, conservateur de la bibliothèque de la faculté de médecine, sont exposées des œuvres rares et précieuses qui, en temps ordinaire, ne sont pas accessibles au public. Les documents proviennent essentiellement de trois fonds qui constituent la richesse en livres et manuscrits de la ville de Montpellier. Il y a les trois cent vingt-huit manuscrits, témoignages de la civilisation médiévale et humaniste, que Prunelle, professeur à l'École de médecine de Montpellier, mit à l'abri de 1801 à 1804, lors de l'inventaire des œuvres confisquées aux couvents pendant la Révolution, et qu'il remit à la ville de Montpellier au lieu de les transmettre à la Bibliothèque nationale, au moins en ce qui concerne les plus beaux textes. À côté de ce fonds, la bibliothèque de la faculté de médecine possède la collection Albani, transférée de Rome en France par les troupes de Napoléon Ier. Cette collection comprend, outre les autographes de la reine Christine de Suède, d'importants manuscrits d'auteurs italiens de la période baroque. La troisième source de cette exposition est constituée par le fonds Fabre-Alfieri, de la bibliothèque municipale, où se trouvent à peu près toutes les éditions les plus importantes de la Divine Comédie, depuis les premiers incunables jusqu'aux impressions de Boldoni, en passant par les éditions lyonnaises du XVIe siècle. Le xxe siècle est représenté par la Divine Comédie que Salvador Dali illustra. Parmi les manuscrits, figure celui du Fiore, inspiré du Roman de la Rose, que certains spécialistes attribuent à Dante ; selon une hypothèse contestée, il serait l'unique autographe existant du poète florentin. Dans la seconde salle sont réunis des ouvrages italiens du XIVe au XVIIe siècle, notamment les manuscrits de Pétrarque enrichis de belles miniatures ; à côté, trois incunables présentent la rare particularité d'avoir, même dans le texte imprimé, les initiales enluminées à la main. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Sommaire Nouvelles orgues en Bretagne. L’orgue de la communauté des sœurs de la Charité de Saint-Louis de Vannes p. 97-99 Abbé Maurice Brault À propos du grand orgue de la cathédrale de Troyes p. 100-106 Michel Louvet Notes chronologiques sur les orgues de Saint-Jacques de Châtellerault p. 107-108 Jacques Daunizeau Centenaire de la naissance d’Henri Libert 15 décembre 1869 – 14 janvier 1937 p. 109 Félix Raugel Centenaire de la mort de Balthazar Waitzen-Necker 1836-1869 p. 110-111 Abbé Jean Prim L’activité des Amis de l’Orgue. Saison 1968-1969 p. 112-115 Pierre Denis Chroniques concerts donnés dans les églises et les temples p. 116-185 Félix Raugel, Guy Bourligueux, Mlle Seupel, Noëlie Pierront, G. Lacourt, Jean Cau France Paris France Province Étranger Revue des revues Études, Livres et Brochures Musique Disques Activités des Facteurs d’orgues Nécrologie
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